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C’est bientôt la rentrée, ci-dessous quatre cas de figure
Il y a ceux qui reprendront le chemin d’un dojo et d’un enseignement qu’ils connaissent bien, il y a ceux qui désirent changer de discipline et il y a ceux qui souhaitent entrer dans le monde des arts martiaux et des sports de combats. Enfin il y a ceux qui ne continueront pas.
Prenons dans l’ordre ces quatre cas de figure.
D’abord commençons par ceux qui persévéreront dans une pratique commencée il y a un an ou plus. Ils sont en terrain connu, ils souhaitent continuer à progresser et à découvrir. Oui, on découvre toujours quelque soit son niveau. Ils continueront à franchir les étapes et surtout ils seront heureux du travail fourni les saisons passées et qui leur a assuré d’inévitables progrès, avec leur lot de satisfactions personnelles. Ils seront récompensés d’une indispensable régularité ponctuée d’efforts physiques et mentaux.
Ensuite, concernant ceux qui changeront de discipline. Ils le feront, pour découvrir d’autres cieux ou bien se perfectionner dans un domaine très précis. Ou encore, en cédant aux phénomènes de mode, ce qui est valable aussi pour les débutants.
Justement ceux qui entrent dans l’univers des arts martiaux et des disciplines de combat le font souvent « par relations », c’est-à-dire grâce à un membre de la famille, un copain ou encore un collègue de bureau. Cela peut être aussi de leur propre initiative, attirée par une des nombreuses facettes proposées dans l’univers en question. Mais, comme indiqué plus haut, le phénomène de mode est bien présent, quitte à être déçu ou s’apercevoir que ce n’est pas ce qu’on croyait. Il existe aussi un critère qui n’est pas souvent évoqué, bien que réel, il s’agit de celui de la proximité d’un club par rapport au domicile ou au bureau.
Enfin, il y a ceux qui abandonnent et là aussi les raisons sont multiples. Existent les problèmes de santé, l’âge (?), un changement de vie, professionnelle et/ou personnelle, la lassitude (c’est dommage) et enfin ceux qui abandonnent à tout, mais ceux-là n’ont même pas attendu la fin du premier trimestre pour arrêter.
Voilà, à une bonne semaine de la rentrée, un résumé de chacune de ces catégories.
Quoiqu’il en soit et quelle que soit l’option choisie, il faut savoir que le choix d’un professeur est aussi important que celui de la discipline. J’y reviendrai la semaine prochaine avec ce qu’on appelle un « marronnier » : terme journalistique qui désigne un sujet ressorti chaque année à la même période : la rentrée des classes, le palmarès des cliniques, le spécial vin (peut-être aurait-il été plus judicieux d’inverser l’ordre des deux derniers), etc. Je ne manquerai pas de céder à cette tradition dans le prochain article.
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