Chaque semaine sur la page Facebook « Club Jujitsu Eric Pariset » (partagé sur ma page perso) et sur mon blog, je publie un article. Du côté « administrateur » je bénéficie d’un compteur qui me communique le nombre de « personnes touchées ». Il me donne une indication sur les articles qui ont attiré le plus l’attention.
Cette année, ce classement ne mérite pas le nom de palmarès dans la mesure, comme on pouvait l’imaginer ce n’est pas un article glorieux qui devance, et de loin, tous les autres. En effet, il s’agit d’un bien pénible article, celui paru le 29 mai avec le titre évocateur de « triste obligation », celle de rendre les clefs du dojo qui avait ouvert ses portes juste un an plus tôt. Avec plus de 86 000 visites, c’est un triste record qui a été établi par l’article en question.
Le deuxième est loin derrière avec 18 609 personnes touchées. Il évoquait l’importance du professeur, en l’occurrence du premier professeur ; un sujet beaucoup plus optimiste, qui remue un peu plus le couteau dans une plaie béante.
En troisième position, avec le chiffre de 15 330, on trouve la « lettre ouverte » que j’avais adressée au Président de la République pour lui faire part de mon incompréhension et de ma colère mais aussi de l’injustice que représentait – et représente toujours – l’assassinat d’un beau projet et surtout de la perte de mon outil de travail. Et que, contrairement à ce qui avait été promis et le « quoiqu’il en coûte qui accompagnait les propos présidentiels, beaucoup ont été laissés « au bord du chemin » et même au « fond du ravin ». J’avais reçu une réponse dans laquelle m’étaient posées quelques questions auxquelles j’ai répondu ; cela est resté sans suite, cette fois.
La place de quatrième revient à un post évoquant « mon ju-jitsu », avec 11 216 personnes atteintes. Une place qui, elle aussi, accentue les regrets de ne plus pouvoir transmettre une belle discipline.
C’est avec une certaine logique que le sujet traitant de mes démonstrations se place en cinquième position avec un compteur indiquant 10 127.
Ce classement signifie bien l’importance que représentent les conséquences désastreuses engendrées par l’épidémie et sa gestion. Aujourd’hui, le but n’est pas de polémiquer, mais juste de constater et d’espérer au plus vite une sortie de cauchemar.
Avec la deuxième place qui évoque le professeur s’exprime la forte reconnaissance envers certaines valeurs.
Enfin, la quatrième et la cinquième positions saluent sans doute le travail accompli.
Dates de parution des publications :
Triste obligation : 29 mai.
Le professeur : 8 septembre.
Lettre ouverte…: 12 juin.
Mon ju-jitsu : 5 octobre.
Mes démonstrations : 8 novembre.